Le pire serait que nous ne croisions plus les routes de tous ces demandeurs de réciprocité.
Reflets déjà présents dans les flaques de nos rêves, portraits assermentés à la dernière mode avec, pour nous aguicher et mieux accommoder leurs macédoines de problèmes, des bijoux intérieurs à la limite de la verroterie, des voilettes humides qui estompent les regards, des frous-frous murmurés et pourtant ostensibles, un bric-à-brac digne d’une brocante pourvu qu’il puisse avec le notre s’échanger.
Ainsi l’offre de chacun parvient sur la place publique, ses murs, ses représentations, jusqu’à ses bavardages.
Yvon Bohers